Les partis pris de la mise en scène


Avec cette odyssée farfelue, les Trublions restent fidèles à un univers où la frontière entre le réel et le fantasme est bien floue, un univers où le clownesque répond aux plus pressantes nécessités matérielles ; fidèles aussi à une mise en scène et un jeu qui ont la pirouette et le décalage pour principe ; fidèles enfin à leur volonté de suggérer un espace avec le moins de moyens possibles, jouant sur les doubles faces et l’éclairage pour le métamorphoser.



Point de travail de réécriture cette fois, mais face à cette comédie construite comme une tragédie antique, un travail sur le chœur, alliant donc musique et chorégraphie et s’autorisant quelques insertions de textes homériques.